luth III

2019

bois, béton et satin

4 mètres de longueur

souffler n’est pas jouer, commissariat Aurélie Barnier, Galerie du Haut-Pavé, Paris

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Comme les quatre cordes d’un instrument de musique, quatre rubans de satin. Ils viennent cintrer le bois dans sa longueur. Leur trajectoire est déviée par une pièce de béton faisant office de chevalet, qui repose uniquement par pression entre la rambarde et le plafond. Cette tension repose sur un système de cales, dont l’une d’entre elles, discrète, est placée sous la porte. L’architecture entière y est convoquée, elle se présente comme la caisse de résonance d’un instrument de musique dans lequel nous sommes.

Comme les quatre cordes d’un instrument de musique, quatre rubans de satin. Ils viennent cintrer le bois dans sa longueur. Leur trajectoire est déviée par une pièce de béton faisant office de chevalet, qui repose uniquement par pression entre la rambarde et le plafond. Cette tension repose sur un système de cales, dont l’une d’entre elles, discrète, est placée sous la porte. L’architecture entière y est convoquée, elle se présente comme la caisse de résonance d’un instrument de musique dans lequel nous sommes.

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